Bonjour à tous!

Comment allez vous en cette fin de semaine? Pour ma part j’ai envie de dire.. vivement les vacances.. et hélas ce n’est pas pour tout de suite… Je vous retrouve aujourd’hui pour un roman qui est un service presse qui m’a été envoyé par Clémence de chez &H que je tiens d’ailleurs à remercier. Je l’ai lu en Lecture Commune avec Gwenlan de La Malle Aux Livres, dont vous trouverez la chronique ici.

C’est parti pour la couverture et le résumé

Il s’appelle Bax. Un nom qui fait trembler tout le quartier de The Point. Un nom synonyme de violence, un nom synonyme de sang. Et aujourd’hui, Bax a bien l’intention de le faire couler pour obtenir des réponses. Car il vient de sortir de prison après cinq années ; 1 826 jours passés derrière les barreaux, sans bière, sans fille, sans rien, pas même la garantie d’en ressortir vivant. Et pour commencer, il doit trouver Race, celui qu’il considérait comme son meilleur ami, pour lui poser quelques questions sur cette fameuse nuit où tout a basculé.
 
Elle s’appelle Dovie. La survie dans The Point, ça la connaît. Elle a même établi quelques règles. Règle n°1 : se la jouer discrète, par exemple en s’habillant comme un mec et en cachant sa crinière rousse. Règle n°2 : éviter de sortir avec les types du coin. Règle n°3 : ne jamais rien devoir à personne. Mais lorsque Race, son frère, disparaît mystérieusement, Dovie n’a plus le choix. Adieu les règles, bonjour le danger. Car son seul espoir de retrouver son frère tient en trois lettres : Bax. 
 
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Alors alors… alors ce n’est pas le premier roman de Jay Crownover que je lis (d’ailleurs je vous en reparle dans une nouvelle chronique très bientôt) mais cette série là est vraiment différente de sa série Marked Men (celle dont je vous parlerai bientôt^^)

Ici, nous avons à faire à un vrai Bad Boy et j’ai vraiment apprécié ce personnage. Parce que Bax ne fait pas semblant. C’est un vrai méchant, que pas grand chose ne retient, voir rien. Et contrairement aux bad boys de romance habituels, il reste un bad boy du début à la fin.

Face à lui, Dovie, qui elle non plus n’est pas une petite fille innocente. J’ai aimé que ces deux personnages viennent des bas fonds de la ville, du quartier difficile et en aient baver pour s’en sortir. Parce qu’ici on parle bien de survie. Des choix à faire quand les cartes que vous a distribuée la vie sont si merdiques qu’il faut lutter tous les jours. Ici pas de violence, pas de maladie, par de viol juste.. la vie tout simplement, quand on est né dans le mauvais quartier, avec les mauvais parents et qu’on essaye de s’en sortir.

J’étais déjà fan du style de l’auteur, de son univers (des bad boys tatoués^^) mais ce roman là nous emmène un cran au dessus dans la noirceur et j’ai trouvé que Jay Crownover restait juste dans ses propos. Elle n’est fait jamais trop, ne cherche pas à émouvoir plus que de raison et ça se ressent dans ses personnages qui restent justes.

J’ai beaucoup apprécié l’histoire. Pas de temps mort et les chapitres, qui alternent les points de vue de Bax et de Dovie nous font entrer encore un peu plus dans l’intimité des personnages. Moi qui ai toujours du mal avec le langage parlé, ça ne m’a pas choqué du tout de la part de Bax, d’autant plus que ce n’est pas le cas de Dovie et que j’ai trouvé ça très cohérent avec le personnage. C’était d’ailleurs amusant de voir le changement de style entre les deux personnages et on se mettait encore plus à la place de chacun.

Je sais que ce roman est le premier d’une série de trois et qu’on a déjà rencontré tous les personnages dans celui là mais j’avoue que j’ai hâte de lire la suite.

En résumé, un roman vraiment prenant qui se lit sans s’arrêter et qui nous entraîne encore un peu plus profondément dans l’univers sombre des bad boys de Jay Crownover. A lire sans plus attendre!!!

 

Ma note :
Ce livre est un service presse de :
Quelques informations sur Bad :
Edition : Harlequin collection &H
Prix : 14,90€
Date de sortie : 09 mars 2016
Nombre de pages 384 pages
 

 

Rédigé par

Sam

Fan de MM et plus particulièrement des single dads (ça marche aussi avec les oncles, les grands frères etc...) , des MMM et d'Urban Fantasy.