Bonjour!
Alors voici enfin la chronique du roman dont je vous parlais hier en introduction. Il s’agit d’un roman d’Amhéliie toute seule qui me faisait de l’oeil, surtout depuis que Gwenlan m’en avait parlé en long en large et en travers… sans plus attendre couverture et résumé:
C’était une première pour la miss et franchement elle s’en sort une fois de plus avec les honneurs. J’adore les polars et celui ci n’a pas à rougir des autres. Pour avoir discuté avec Amhéliie pendant ma lecture je sais qu’elle a fait tout un tas de recherche tout au long de l’écriture de ce roman et franchement ça se sent parce que le sujet est parfaitement maîtriser. Elle respecte tous les codes du genre et l’intrigue est vraiment présente et bien amenée. Pas de résolution à l’arrache de dernière minute comme c’est parfois le cas dans les romances ayant pour fond une enquête criminelle et j’ai vraiment beaucoup apprécié le travail de fond des agents du FBI et toute la psychologie du tueur. Encore une fois chapeau ma belle!
Passons maintenant au coté romance. Et là, forcément, j’ai surkiffé Red. Ce personnage m’a fait mourir de rire. Je l’ai adoré. Il a tout ce qu’on aime chez un male dominant, chez un mec 100% pur jus (à tel point que pour la première fois depuis longtemps ça ne m’a pas effleuré l’esprit une minute que j’aurai préféré voir un mec en face de lui plutot qu’une femme)
Parce que Temperance est un personnage féminin vraiment top. Pas de coté chiant, prise de tête et du fait qu’on ai que le point de vue de Red on s’épargne les éternels atermoiement des filles. Alors oui j’avoue à quelques moments j’aurai bien aimé savoir ce qui se passait dans la tête de Temperance parce qu’avec son caractère bien trempé et ses réparties, j’aurai aimé savoir comment elle réagissait en vrai à son coéquipier plus qu’exaspérant et sexy mais la tension entre les deux est bien palpable du coté de Red alors ça passe quand même.
Fan de MM et plus particulièrement des single dads (ça marche aussi avec les oncles, les grands frères etc…) , des MMM et d’Urban Fantasy.